Les Chroniques du Nord

Les Chroniques du Nord
Prologue

L’histoire qui suit ce situe lors du renversement du royaume d’Al Kahli, grande capitale de la terre des hommes. Ces terres avaient été mises à feu et à sang pendant de longue année exposant tout le royaume a une guerre sans merci opposant les humains au clans des démons. Les deux clans avaient finalement trouvé un accord et les humains qui étaient en position de perdants finirent par céder une grande partie de leurs terres ainsi qu’une partie de leur richesse pour mettre fin à cette guerre. Les démons avait alors retiré leur troupe et le calme était revenu. Le peuple avait tellement manifesté contre le roi qui n’avait pas su défendre le territoire, que le roi avait légué sa couronne à son fils qui avait repris le royaume d’une main de fer. Notre héros lui avait fuit cette "rénovation" et c’était dirigé au nord durant des semaines et des semaines jusqu'à a aboutir dans le petit village de Rodin.

1

Tout commença il y’a a bien longtemps, dans les terres froides et glaciales du Nord. Il faisait nuit. Le silence reposait dans la petite auberge du Ciel Etoilé. Galen dormait d’un sommeil profond allongé sur de la paille. Dehors son corbeau volait à basse altitude traquant une proie au dessus d’un champ. Le nuit était sombre et froide, la pluie n’arrangeait pas les choses, cela faisait au moins 10nuit que Galen dormait a l’auberge car il pleuvait. Cela ne l’arrangea pas car il n’avait pas prévu cela dans son maigre budget financier, mais il était préférable de dormir à l’abri en cette période de pluie.
Le lendemain matin il pleuvait toujours, et cela devenait une habitude de se levé et de se couché sous la pluie. Galen descendis dans la salle commune de l’auberge espérant y voir de nouvelle tête, car depuis qu’il était là il c’était trouvé comme bloqué dans un monde parallèle avec une dizaine d’individus qu’il retrouvé chaque jour. Mais ce matin fut différent des autre, en effet il y avait enfin une nouvelle tête. Il se trouvais qu’une magnifique femme avait visiblement elle aussi choisi de passé ces jours pluvieux dans une auberge, idée que Galen trouvais très intéressante pour lui. Sans plus attendre il s’installa a la même table qu’elle, table a laquelle la veille au soir des nains avec joués a un drôle de jeux puisqu’ils c’étaient mi en rond regardant le centre de la table et lançaient chacun leur tour des insultes et si l’un d’eux ce sentais concerné il se levai et allait frappé celui qui l’avait dit, bref, il s’assit a sa table et appela l’aubergiste :
- Une bière Aubergiste !
Le petit homme trapu derrière le bar fit un signe de la tête et ne tarda pas arrivé une chope dégoulinante de mousse à la main et la posa devant Galen :
- Trois pièce de cuivre s’vous plait m’sieur !
Une foi payée, Galen but une longue gorgée avant de reposer sa chope et s’adressa à la nouvelle :
- ‘voie pas souvent d’femme par ici, quel bon vent vous amène ?
- Le vent ne souffle pas par ici, on dit qu’il y fait si froid que l’air lui-même gèle…, elle se redressa et reprit, ce qui m’amène par ici… , on m’a renseignée que c’était ici que je pourrai vous trouvez et visiblement l’on m’a bien renseignée…
Galen cru mal entendre ces dernière parole et interrogea sa mémoire pour être sur d’avoir bien compris…: elle était venu pour moi, mais qui es-elle? Et comment me connaissait-elle ? Il dissimula du mieux qu’il pu son interrogation et lui répondit tranquillement :
- ‘doit y’avoir erreur ma p’tit dame, j’crois pas vous connaître !
- Oh mais rassurez vous, moi non plus j’vous connaît pas, c’est pas mes oignons vous savez, mais entre nous pourquoi vous fuyez la ville d’Al Kahli ?
C’était a s’en tiré les cheveux, elle ne me connaissait pas, mais savez que je fuyais la capital, qui l’avait mise au courant, et surtout qui avait engagé quelqu’un pour me retrouvé ?
Galen se senti pris au piège il se leva brusquement en faisant tombé son tabouret et sortit de son fourreau son arme qu’il point sur la gorge de sa voisine :
- Qui êtes vous, et que faites vous ici ? De qui répondez vous ?
L’intervention de Galen avait provoqué une panique dans l’auberge et très vite l’aubergiste gueula :
- Oh toi l’étranger, range cette arme immédiatement mon auberge n’est pas un lieu de confrontation ! Si tu ne m’obéis pas j’appel la garde !
Afin de paraître "impressionnant" il avait pris en main un gros hachoir de boucher pensant pouvoir rivalisé avec l’arme de Galen.
- Oh toi l’aubergiste ferme-là et retourne donc a te occupation si tu ne veux pas mourir de ma lame, et n’appel pas la garde, ah moins que tu préfère faire de ton auberge un bain de sang…?
Galen n’avait pas laché le regard avec la jeune femme.
La pire des chose pour un aubergiste étai d’avoir une enquête de la garde en ces lieu, il n’y avait rien qui faisait plus fuir les clients, déjà que c’était dur de survivre en cette saison…l’aubergiste n’avait pas trop la choix et compris vite qu’il n’était plus vraiment le maître des lieux…
- Réponds quand on te parle ? Aboya Galen face au silence de la femme.
A peine avait-il finit ces parole qu’il sentit une sensation de froid du a l’ouverture de la porte. Une voix masculine s’éleva dans son dos :
- Je serai toi, je rangerai mon arme. Fit la voix.
Galen avait juste eu le temps d’entendre ce petit bruit métallique que fait une lame quand vous la sortez d’un fourreau,il se savait donc menacé, et en plus par derrière…
Il s’adressa à cette nouvelle identité qui ne c’était même pas présenté :
- Qui es tu pour être assez lâche et m’attaquer par derrière ? Je te préviens, si tu bouge je la tue alors si tu tien a elle rengaine ton arme !
Galen avait espéré que son discours marcherait, bien que ce genre de discours ne soie que rarement gagnant.
- Je n’ai pas a te révélé qui je suis, et tue là si tu le désire cela ne m’affectera pas…mais sache une chose, si tu la tue, je te tue !
Comme il s’y était attendais le discours n’avait servis rien, ne serai-ce qu’a gagné du temps, mais gagné du temps pour quoi, c’était le matin Galen c’était levé il y a peut il n’avait pas encor l’esprit a réfléchir pour savoir quel stratégie utilisé pour s’en sortir vivant. La seule chose qu’il savait, ce que si il n’agissait pas vite et bien il serai bientôt mort sans même savoir pourquoi…Il lui fallais vite trouver comment agir car il n’était pas question de se rendre, de plus il fallait agir vite car l’autre trouillons qui se tenait derrière le comptoir n’allai pas tardé a quand même appelé la garde, et cela était déjà suffisamment compliqué pour ajouté trois ou quatre hommes de la garde a la scène. Il réfléchi vite et trouva une solution, et se répéta encor sa solution pour être sur qu’elle marcherai avec le moins de surprise possible et s’adressa a l’homme :
- J’te laisse cinq secondes pour ranger ton arme, ce délai passé je te tue et j’embarque la fille.
Alors qu’il acheva sa phrase il commença a répété a vois basse un charabia dans une langue inconnu sans ce soucié de ce que répondais son adversaire.
- … pour me dire ça mon vieux tu l’auras…
Il n’eu pas le temps de finir sa phrase Galen tendis sa main vers la femme et projeta un long dard d’une couleur sombre proche du noir, la femme eût a peine le temps d’être surprise qu’elle fut frappé par la magie et tombas raid par terre d’un coup. Connaissant se spectacle par cœur Galen ne regarda pas et se retourna prêt a esquivé un coup violent. Venant de lancer une magie et étant entrain de se retourné il offrait a son adversaire une attaque d’opportunité qui ne risquai sûrement pas de la gâcher… Mais alors qu’il s’entendait a ressentir une douleur il finit de se retourner et s’aperçu qu’il était seul, son regard balaya rapidement la pièce espérant voir son adversaire bien qu’il ne l’ail lui-même pas vu, il regarda en direction de la porte espérant la voir bougé ou encor ouvert mais celle-ci était fermé et n’avait pas l’air d'avoir été ouverte depuis l’arrivé de cette homme…cela signifiait que l’homme était toujours dans le pièce…

2

L’audience est levée ! Déclara le juge avant de ce levé et de quitter la pièce.
La salle s’empara d’un brouhaha jusqu'à ce que tout le monde soit sorti. Sur les marches du palais, les gens se séparaient ou restaient là discuter un moment.
- Voilà donc une nouvelle affaire que la justice refile a Elric et sa troupe de zinzins. Déclara Thommold.
- Certes oui, mais voyons le bon côté, tu n’auras pas à t’en occuper…Je sais que toi et tes hommes ne foutez pas grand-chose, mais…
IL fut coupé par Thommold qui était rouge de rage :
- Comment ça nous ne foutons pas grand-chose ? Qui a résolu l’affaire du Quai aux Platines ? Et plus récemment, qui a trouvé ce foutu traître de Galen ? C’est bien grâce à nous que le roi est toujours vivant alors ne vient pas dire que mes hommes sont des larves ! Thommold le fixa de ces petits yeux marron et ne battait plus des paupières…
- Arrête-moi si je me trompe, lui répondu Thibald, mais ton fameux traître a pris la fuite et tes hommes ne l’on point retrouvé… J’avouerai que cela me fait presque rire… vous me faites pitier a voir toi et tes hommes mais je m’inclinerai devant toi si tu retrouve et ramène Galen.
Thibald finit sa phrase, se retrouna et s’en alla. Thommold était passé du rouge au vert de rage ! Il lui fallait vite trouver un moyen de se défouler et il opta pour un pauvre et innocent mendiant qui par malheur pour lui passa par là à cet instant.

À plusieurs lieus d’ici, dans la forêt de Schlipak, Elric et ces compagnons marchaient à pas feutré dans la forêt en guettant l’horizon. Soudain Jessie fit un bref signe de la main a Elric lui indiquant une clairière qui se trouvait à quelque pas d’ici. Elric s’arrêta net et sortit son Morgenstern de son dos, Jessie, elle décocha une flèche et se tin prête… Un instant plus tard Elric courait en direction de la clairière le plus discrètement possible et au moment ou il apparu dedans Jessie décocha sa flèche qui siffla dans l’air avant de venir se planté dans l’épaule droite d’un troll des montagnes. Ce dernier se leva et hurla a travers la forêt offrant a Elric une magnifique opportunité de lui administré un sérieux coup dans ces partie génitales. La réaction ne se fit pas attendre alors qu’il devait crever de mal il élança son bras ou plus précisément sa massue en direction d’Elric qui afin d’esquiver roula entre ces jambes et profita en plus de se retrouver derrière lui. Jessie quant à elle décocha une seconde flèche et l’envoya directement dans le coup du troll. Le combat qui s’engagea dans cette clairière se transforma vite en une démonstration d’enchaînements et d’autres coups que présentaient les deux partis. Elric acheva le combat d’un gros coup de Morgenstern sur le crâne qui laissa entendre le sombre craquement de l’os. Le troll tomba sur le sol recouvert de feuilles dans un bruit sourd. Pas une seule égratignure était visible autant sur Elric que sur Jessie.
- Peuh…trop facile ! lança Elric.
- C’est vrai, j’aurai espéré qu’il soie plus coriace que ça… Bon on rentre au camp Eldek doit être revenue. Elle se tourna et partie dans la direction d’où il venait.

3

L’auberge semblait vide de part son silence. Les clients l’auberge était comme pétrifiés, personne ne bougeait. Galen était debout au milieu de la pièce avec derrière lui une ravissante femme allongé par terre évanoui. Il scruta rapidement la pièce afin de déceler une trace ou un indice qui pouvait l’aidé à trouver ou était passé son interlocuteur de toute a l’heure, mais rien il n’avait pas affaire a un amateur et cela il l’avait redouté. Galen n’était jamais motivé a dévoilé ces capacité au grand jour devant au temps d’inconnu et encor moins si tôt le matin… Il devait une fois de plus réfléchir vite car il était très exposé à son ennemi qui pouvait analysé la situation tranquillement puisque que Galen lui ignorait tout de son opposant. Il n’avait pas le choix il allait devoir s’y mettre sérieusement ou du moins faire semblant… Un dernier rapide tour d’horizon pour espérer voir quelque chose, mais de nouveau rien, quand soudain une sorte de petit sifflement lui attira l’oreille droite, un rapide coup d’œil lui permis de voir qu’un dard lui arrivait dessus… Il n’eut que très peut de temps pour réagir, mais il ne bougea pas. C’est ce que son ennemi voulait,qu’il bouge, qu’il esquive et qu’ainsi il ne le voie pas l’attaquer...Galen n’était pas si con pour tomber dans un piège aussi classique. Il tourna légèrement la tête afin d’éviter de recevoir le dard dans un point vital comme la carotide, le dard vint se planté dans la partie avant de la clavicule procurant un petit soubresaut de Galen qui resta néanmoins de marbre… Certain client de l’auberge émirent un petit crie au moment ou l’on entendit l’impacte du dard se planter dans la chaire de Galen.
En abaissant son regard sur la dard il vit qu’a sont extrémité l’on pouvait y voir des traces légèrement séchés de couleur bleu foncé : du venin des sable! Il s’attendait a un vulgaire poison ou autre, mais il c’était fait piégé; son adversaire savait sûrement qu’il n’esquiverai pas afin de ne pas recevoir une attaque du coup il avait empoisonné le dard avec un poison puissant a qui agit très rapidement car c’était quasi sur qu’il attendrait la cible. Galen débout ne devait surtout pas se montrer affaiblie ou un quelque peu étourdi par les effets du poison qui allaient bientôt agir… Le poison devait en effet bientôt commencé son attaque du système nerveux ce qui produirait des troubles allant de l’équilibre au langage en passant par la mobilité, bref plein de possibilité que personne de conscient ne souhaite testé…Galen se perdit l’esprit à savoir quel serait le pire entre la vision, l’équilibre ou la parole…mais il revint vite a la réalité et s’aperçu qu’il n’avait pas vraiment temps de rêvassé maintenant, et qu’il fallait plutôt trouvé une solution et si possible rapidement. Il n’avait point le choix il devait s’échappé, s’il restai la il finirai par terre a se torde de douleur et serai obligé de s’avoué vaincu… Il lui fallait agir vite a intelligemment.
Il trouva a temps une solution qu’il n’avait plus trop le choix d’essayé,c’était ça ou rien…Il se concentra n’écoutant plus le monde qui l’entourai, il puisa des force dans son mental et sa force antérieur de mana. Après quelques mots murmurer il fit apparaître, dans sa main gauche puisque le dard venait de la droite, une volute blanche et grise qui dissimula le long de son corps, puis une fois cela fait il récita a mi voix une formule dans le même langage que tout a l’heure mais cette fois si il pointa son index, en direction de la droite, d’où une sphère rougeoyante de la taille d’une bille partie à grande vitesse. En lançant cette deuxième magie il utilisait la même stratégie que son adversaire avait utilisé quelque instant plutôt contre lui, a savoir il le provoquai en le forçant à esquiver sa magie à pars si il décidait d’encaisser une boule de feu ce qui était dangereux car à moins d’avoir affaire à un mage, ce qui n’était pas le cas vu son attaque au dard, il ignorait le niveau de magie que Balen possédait ; il fallait donc être fou pour encaisser une boule de feu sachant qu’elle avait peut être une chance de vous tuer. A l’instant ou il fit partir sa boule de feu, les clients sursautèrent et prirent la fuite pour certain tandis que d’autres sa cachaient sous la table sans même savoir ce qu’il leur arrivait dessus, mais sachant que cela ne devait pas être très amical.
Comme il l’avait prévu a son tour son adversaire se montra, mais cette foi si pas question de l’attaquer avec du venin des sable dans les veines. Son adversaire,un homme de taille moyenne et plus ou moins équipé comme une sorte de rôdeur ou autre chasseur lui courait dessus pensant sûrement que Galen était paralysé ou autre à cause du venin. Mais alors qu’il leva son épée pour se préparer a donné un sérieux coup à Galen, celui-ci leva la main gauche et se la plaqua violement sur le thorax ce qui le fit immédiatement disparaître. Complètement ébahi son adversaire en avait oublié le deuxième sort lancer précédemment et ne tarda pas à s’en souvenir lorsque retenti pas loin derrière lui une explosion qui fit volé des boute de table et autre mobilier et qui embrasa les poutres qui firent s’écroulé un bout de l’étage d’au dessus et plus précisément d’un homme et d’une elfe en plein ébat sexuel qui eux ne comprenait rien a ce qui se passait… Il se retourna vers la porte pensant pouvoir ainsi deviné quand Galen quitterai l’auberge mais la porte n’existait visiblement plus et un flot de gens se ruai sous les pluies torrentielle qui tombaient dehors. Il pensa a la fille qu’il avait tenté de sauvé et se tourna pour la ramassé et s’aperçu que quelque s’en était visiblement déjà occupé…
Les rôle s’étaient inversé et cette foi c’est lui qui cherchai Galen a travers les décombre enflammé de l’auberge. Puis il se dit qu’il serait intelligent de sortir plutôt que d’attendre que l’auberge ne s’effondre sur lui…

A une ruelle de ça, Galen avançait péniblement portant une fille sur ces épaules. Il avait déjà de la peine à parfois porter son propre équipement ce qui remarque était normal vu sa musculature. Le rayon affaiblissement avait plongé sa victime dans un tel état d’épuisement qui l’avait fait s’évanouir sur place il ne pouvait donc pas compté qu’elle se réveil dans un instant… Alors qu’il avançait lentement dans la ruelle Galen se mit a oscillé et a marché de travers…ce qu’il redoutait temps arriva visiblement le venin avait commencer a faire effet…L’horizon se balançais de gauche a droite quand soudain il perdit l’équilibre et tombas au sol et s’évanoui en se cognant la tête a une pierre…

4

Elric et Jessie, après une courte marche, arrivèrent a leur campement, où comme prévu Eldek les attendais.
- Alors ? Leur adressa Eldek.
- Bof, répondis Jessie, c’était un peu facile, mais néanmoins nous aurons fait un petit entraînement comme ça. Et toi de ton côté ?
- Nous avons eu un message de l’archimage. Notre nouvelle cible se prénomme Galen et il se trouve dans un village au Nord.
- Très bien ! Fît Elric. Qu’a-t-il fait celui là ? Et quand part-on ?
- Il serait impliqué dans l’histoire du Roi Baldric. Et nous partons dès demain a l’aube.
En finissant sa phrase Eldek retira du feu une volaille qui grillais gentiment. Il s’assit sur une bûche et mangea tranquillement. Jessie et Elric l’imitèrent et le repas fût agréablement silencieux. Les dernières braises du feu s’estompèrent lorsque nos trois compagnons s’endormirent a la belle étoile, laissant le panache de fumée se dissipé dans l’air frais de la nuit.
Au petit matin, comme cela avait était prévu la veille au soir, les trois compagnons prirent la route en direction du Nord et plus précisément vers le petit village de Rodin. Mis à part les embuscades suicidaires de nos amis les Gobelins, la première journée de route fût très tranquille. Le soir venu notre trio s’offrit une nuit en auberge dans le village de Javëa, petit village a la lisère d’une forêt peuplée d’elfes, où se tenait une petite fête à la quelle nos trois voyageur participèrent. La soirée fût arrosé de bière et d’autre breuvages dont les elfes seuls on la recette. Le réveil fût dès lors plus dur qu’a l’habitude mais avec de la volonté le voyage reprit cette foi ci a cheval.

À plusieurs lieus au Nord de cela, Galen s’écroula dans la ruelle et se cogna la tête contre une pierre. Laissant apparaître un petit filet de sang s’écouler de sa tête. La fille qu’il transportait était a moitié affalée sur lui, elle aussi inconsciente. Comme depuis qu’il était là il pleuvait toujours et l’eau qui filait entre les pavés emportait son sang vers le centre de la ruelle. Il distinguait encor vaguement le sol et l’eau qui s’abattait avec force contre celui-ci. Il se sentait fondre comme si chaque goûte d’eau lui prenais un peu de vie. Il ne pouvais qu’espéré qu’un miracle se produisent car il était la à moitié inconscient et invisible au milieu d’une ruelle déserte ou personne ne penserai à passé par un jour d’averse comme celui ci. Doucement ces paupières se fermèrent et Galen tombas dans une sorte de coma allongé là inerte au milieu de nulle part.
Les paupières fermées Galen reprit conscience et senti de la lumière sur son visage. Temps bien que mal il ouvrit ces paupières comme ci c’était la première foi qu’il le faisait. Le soleil l’ébloui pendant quelque instant il avait l’impression de voir pour la première foi, chaque couleur et chaque forme paressaient nouvelle à ces yeux, sa vision était légèrement vague et il mis un petit moment à retrouvé sa vision habituel. Une foi bien réveillé il se remémora les événements passés et ne comprit pas comment il était passé de la ruelle à ce lit dans cette maison en bois magnifiquement décorée et arrangée. Il se leva et oscilla légèrement. La pièce dans laquelle il se trouvais était très basse pour une maison d’homme la hauteur des portes devait être d’environ 5 pieds (1pied = ~30cm). La plafond était a peine plus haut et le tabouret qui se trouvais dans le coin aurait servi d’appuie pieds a un humain de grande taille. Où suis-je, pensa Galen, suis-je mort et au paradis? Il fut interrompu dans sa réflexion par l’ouverture de la porte, par reflex il mis la main a son fourreau, ou du moins là ou il aurait dû être puisqu’en effet il n’avait plus aucun équipement sur lui et portait une simple chemise et un vulgaire pantalon. Alors qu’il se demanda ou était passé ces affaires un petit homme entra dans la pièce tenant un plateau devant lui.
- Oh! Vous voilà réveillé! J'ai bien fait de croir enIldar ! J’ai bien cru que jamais vous ne vous réveilleriez. Comment vous sentez vous? Tout va bien?
Galen ne l’écoutait qu’a peine, il réfléchi et tenta d’analyser le situation comme il avait si souvent l’habitude de le faire. Qu’es qu’un nain foutai ici ? Où plutôt comment était t’il arrivé chez se nain qui visiblement vénérai Ildar, ancien héros nain devenu d’après les légendes dieu de l’eau a cause d'une drôle d’histoire oubliée de tous ou presque.
Devant son silence le nain tenta encor une fois d’introduire un début de conversation :
- Excusez moi, vous devez sûrement vous demandez où vous êtes et qui je suis. Je suis Balthor et vous vous trouvez sur le vieux mais beau rafiot de mon maître Ildar.

5

Notre trios d’aventurier traversait les pleines du nord au galop sur leur destrier. Le soir venu ils n’étaient qu’a une demi-journée de la chaine de montagne de Malkar et d’après leur carte le petit village de Rodin, où devait se trouver Galen, se situait juste au pied des montagnes à quelques heures de la Mer d’Oxcitane. Lorsque le camp fut levé et que le feu brulait de toutes flammes, Elric sortit de son sac un pain ainsi qu’un gros jambon dont il coupa de fines tranches avec son couteau de chasse qu’il distribua a ces compagnons…
- Vous croyez que un jour l’archimage nous rendra notre liberté ou bien voudra-t-il de nos services jusqu’à la fin de nos jours ?
- J’en sais rien, répondit Jessie, et pis d’abord pourquoi se plaindre ? Tu sais bien qu’on devrait être en prison et que personne ne nous aurai proposé cet arrangement appart lui, alors pourquoi ne pas profitez de cette chance ?
- Mais croit tu réellement qu’il nous surveille ? Franchement moi j’vous di il veut nous foutre la trouille et on pourrait très bien profitez de se séjour en montage pour soi disant se perdre et ne plus jamais réapparaitre qu’es que vous en dites ?
- Mouais ce n’est pas con c’que tu di la, lâcha Eldek, mais je ne suis pas non plus sur que cela soie si facile que tu le crois mon frère…
- Mais tu es d’accord que ca vaudrait la peine d’essayé ?
- Oui pourquoi pas…après tout il faut avoir le goût du risque un peu dans la vie…n’es pas Jessie ?
- SA SUFFIT ! Arrêtez avec ces histoire… vous savez très bien que je ne suis pas du même avis que vous, on en a déjà parlé plusieurs fois, maintenant excusez moi, mais j’ai sommeil !
Elle finit sa phrase, se leva et alla s’étendre sur sa paillasse à l’écart des deux frères…
- Si tu veu mon avis, fît Elric, elle a la trouille qu’on la laisse à l’écart…
- Rho mais non…voyons tu sais bien qu’on a jamais réussi a bien la comprendre…laissons lui le temps elle finira bien par prendre conscience de notre idée est la meilleur…
Les deux frères finirent gentiment leur soirée au coin du feu puis s’endormirent dans l’air frais de la nuit.

Loin d’eux Galen s’endormit dans sa petite chambre inadaptée à sa taille. Il avait beaucoup dormis pour se reposer vu son état critique. Le nain lui avait raconté quelques histoires barbantes qu’il avait écoutées que d’une oreille réfléchissant sans cesse afin de comprendre comment il s’était retrouvé là.
Il avait été empoisonné et avait fuit invisible avec une femme inconsciente. Et le voila qu’il se retrouvait dans la chambre d’un bateau accueilli par un nain, mais en plus il était visiblement en voie de guérison et par-dessus tout la fille avait disparu. Il y’avait franchement de quoi se poser des questions.
Alors qu’il cherchait divers hypothèse tout plus farfelus les une que les autres il s’endormit lourdement d’un sommeil profonds.

Quelques panaches de fumée s’échappaient encore avec volupté des restes du feu de la veille au soir. Eldek se réveilla en premier, gentiment il s’étira et commença a rangé ces affaires. Très rapidement le soleil se hissa dans le ciel ; Jessie et Elric se réveillèrent tout deux à la suite.
- Bien l’bonjour mes compagnons, lança Eldek qui comme toujours était le premier réveillé des trois, allez ne tardez pas, plus nous arrivons tôt a Rodin plus nous gagnerons du temps.
Comme d’habitude leur départ fut retardé par la lenteur d’Elric qui comme a son habitude leur expliqua avec des excuse complètement dépassé les raison de pourquoi de son attende…
- De tout façon on doit toujours attendre et c’est toujours sur toi un point c’est tout ! Trancha Jessie.
Le froid qui s’était à présent instauré entre eux rappelai celui de la veille quand Jessie c’était fâchée avant d’aller dormir.
Pensant que cela suffisait pour ces dernière 24 heures ni Eldek ni Elric n’ouvrirent la bouche jusqu'à a l’approche d’un rempares de bois fraichement dressé et accompagné d’une tour de garde.
- Holà! Qui va là !? Proclama une voie du haut de la tour.
Etant un peu le chef du groupe Eldek sorti du rang formé par leurs chevaux et s’adressa au gardien de la tour :
- Nous sommes trois vagabonds et nous parcourons le pays sous les ordres de l’archimage. Nous aimerions passer quelques jours à l’intérieure de votre enceinte si c’est possible.
Le garde se pencha un peu comme pour mieux les voir puis se tourna et cria quelques mots à un garde se trouvant derrière la porte.
La porte s’entre-ouvrit et deux gardes sortirent en s’approchant des trois compagnons, Eldek avait déjà sortis le parchemin scellé de l’archimage et le remit au garde qui s’apprêtait à ouvrir la bouche pour le demander.
- Je…hum, ah très bien merci ! Attendez un instant.
Les deux gardes disparurent derrière la porte. Puis dans un grondement sourd le porte s’ouvrit lentement.
- Bienvenue à Rodin ! Cria le garde au sommet de sa tour.